Petite visite surprise

Il est bientôt midi. Les rues et les petits restaurants sont bondés de villageois. Les jeunes enfants qui cours, les couples qui font une promenade. Shinrai se souviens dans son enfance quand il se promenais sous la pluie avec sa famille. Tout le monde avait son parapluie, sauf lui. Même lorsque il pleuvait à grosses gouttes, il sortait dehors pour en profiter. Sentir la pluie tomber sur soi, que peut-il y avoir de mieux? Avoir des amis, peut-être. Socialisé avec les autres n'a jamais vraiment été son fort, a part avec sa soeur, parce qu'ils ont grandi ensemble. Il ne sait pas vraiment s'il aurait préféré avoir des amis, de toute façon, il se sent bien comme il est en ce moment. Il profite de sa marche vers la résidence pour regarder et choisir à quel restaurant il pourrait amener sa soeur. À bien y penser, il préférerais emporter deux repas avec lui, au cas où elle aurait trop de travail.

Arriver à la résidence, certains était déjà en train de manger, d'autres travaillais encore sur des dossiers. Les gens se demandait se qu'il faisait là, surtout les autres ninjas qui le déteste parce qu'un ninja qui ne tue pas ses cibles, surtout un ninja de Kiri, sa ne vaut rien. Shinrai s'en fiche, du moment que ses missions sont accomplis, il est satisfait. Aujourd'hui il n'est pas vraiment d'humeur à ce faire regarder croche ou à être intercepter pendant qu'il va voir sa soeur. Rendu au bureau du Mizukage, la porte était entre-ouverte, signe que quelqu'un est déjà avec elle ou que quelqu'un viens de partir. Il cogna deux fois sur la porte, pour dire que c'était lui qui entrait. Comme d'habitude, il entra avec cette air amical, le petit sourire et les boîtes à bento en mains.

-Je ne dérange pas trop j'espère?

Elle était assise à son bureau, à regarder les piles de papiers et de dossiers. Kitara Midareru, Shichidaime Mizukage du village de Kiri. D'une beauté et d'une cruauté inimaginable. Une très jolie femme. Les hommes sont plutôt porter à remarquer sa poitrine voluptueuse que son oeil d'un magnifique bleu-cyan. Evidemment, Shinrai ne pu s'empêcher de poser son regard un très court instant sur le décoleté qui laissait entrevoir la peau douce de Kitara, qui l'avait vu se rincer l'oeil un peu. D'un signe de la main, elle l'invita a s'asseoir afin de déguster ce magnifique repas. Ils ont commencé à parler de leurs matinées. Beaucoup de travails du coté de Kitara et beaucoup d'entraînement du coté de Shinrai, comme à l'habitude. Il n'as pas a se faire trop de souci, car elle semble très bien se débrouiller dans son rôle de Mizukage.

-Et puis, comment sa se passe avec les autres villages et le nôtre?

Les secrets d'une grande soeur.Son ventre se plaignait, des gargouillements incroyables et des crampes. Ne pas déjeuner avant de se jeter dans les dossiers importants n’était pas une très bonne idée. Encore des piles de lettre dont une totalement réservée à Kumo. On lui demandait de s’allier et en échange, ils oublieraient la dette que Kiri a envers Kumo concernant la précédente guerre shinobi. C’était la troisième cette semaine, il devait sans doute croire qu’elle n’avait pas vue les autres. Comme il était temps de lui répondre, ce matin, Kitara avait envoyé un homme de sa garde lui passer le message afin qu’elle ne revoit plus jamais l’une de ces lettres. En partant, ce ninja avait laissé la porte légèrement ouverte laissant passer un petit courant d’air frais. Un long soupire résonnait dans la pièce, ses coups de stylo et le frottement du papier qu’elle feuilletait résonnaient tout autant. Quelques nouvelles de la part d’une escouade s’occupant de la sécurité des îles signalaient la présence de quelques espions de Suna.

Plaçant ce dossier dans une pile de dossiers important, elle allait tâcher d’y remédier le plus tôt possible. Aucune nouvelle d’Oto ni de Konoha. C’est alors qu’en passant un après l’autre les dossiers, elle tombait sur une enveloppe noire aromatisé d’une odeur ferreuse comme le sage. Un sceau rouge la tenait fermé. Quelle était cette note mystérieuse ? Était-ce une réponse de la part de cette nouvelle alliance ou bien… Avant de prendre le temps d’y penser, Kitara entendit deux petits coups à sa porte. Glissant vite cette enveloppe dans un tiroir, elle refermait celui-ci lentement en levant la tête vers son jeune frère qui refermait la porte derrière lui ayant en main deux boites de repas. Comment pouvait-il se présenter ainsi à l’improviste avec une telle prédilection juste. Il arrivait pile avec un repas. Avec un petit sourire en coin, le jeune homme demandait s’il ne dérangeait pas :

Comme il osait sans doute le croire, non, il ne dérangeait pas et n’avait pas besoin de le demander. Mais comme il était un jeune homme poli il préférait sans doute agir ainsi. Le voyant loucher vers sa poitrine, la femme baissait les yeux pour regarder la chaise qu’elle lui présentait. Le ninja s’approchait pour y prendre place et déposer les deux boites. Se servant, la femme l’ouvrait et observait le contenu. Tout avait l’air bien délicieux, mais que lui valait cette petite rencontre surprise ? Bien sur, il bénéficiait d’un certains privilège puisqu’il était son frère, mais il ne devait pas abuser. Partageant ce petit repas, ceux-ci le dégustait entre quelques petits mots pour commencer une conversation avant que le jeune homme ne demande la situation du village et celles des autres.

Ce jeune homme a toujours été un garçon honnête, loyal et bon. Un gentil garçon et une bonne personne. Probablement trop bonne pour Kitara qui elle, venait il y a peut-être une heure ou deux, d’envoyer l’un de ses épéistes, dévaster un village civil près de la montagne de la foudre. Oui, elle lui avait ordonné d’exécuter le plus d’innocent possible, laissant quelques survivants ainsi qu’un bandeau frontale de Kiri en guise de preuve. Ce genre d’évènement n’allait que pousser Kumo à oublier l’alliance et déclarer une guerre. Mais comme Shinrai n’était pas aussi cruelle, il n’était pas obligé d’entendre cela, elle pouvait tout aussi bien le lui cacher. Lui esquissant un sourire, la femme déposait les baguettes et visionnaient quelques dossiers afin de pouvoir s’appuyer sur quelques détailles précis pour lui dire :

- Oto et Konoha demeurent sans nouvelles, Suna envoi des ninjas sur mes îles, ça me rend complètement folle. J’ignore ce qu’ils veulent, mais s’ils veulent des problèmes ils n’ont qu’à continuer à venir fouiner sur mes terres. Pour ce qui est de Kumo, je pense toujours que les demandes d’alliance ne servent à rien et ils ne cessent de monter la dette. Si non, rien vraiment.

Préférant de pas parler de la petite lettre noire venant probablement d’akatsuki, celle-ci allait garder le silence sur ce sujet jugeant qu’il n’était pas obligé de le savoir, tout comme Kumo en faite. Oui, c’était mal de cacher des choses, mais elle n’avait pourtant raconté aucun mensonge, elle n’avait fait que d’éviter d’aborder les sujets plus en profondeur. Moins il pouvait en savoir, mieux c’était. Enfin, pour lui, car avoir une telle image de sa sœur ne devait le réjouir non plus, déjà qu’il la savait bien assez cruelle avec le peu qu’il pouvait en savoir. Ce jeune homme maintenant ninja, allait cependant, connaître la nouvelle réforme, cette ère sanglante et ténébreuse qui allait s’abattre sur Kiri. Le nouvel examen allait probablement le choquer, mais il allait devoir se conformer et les plaintes n’y changeraient rien. Katara voulait retrouver cette dite époque et c’était de cette façon qu’elle allait y arriver.

Une lignée de ninjas sanguinaires et puissants allait gravir les échelons de Kiri. Ayant de cela quelques jours, la femme avait envoyée une lettre au village de la feuille disant que désormais, le village de la brume ne passera plus les examens avec les autres villages. Ce message devait probablement leur évoquer une certaine curiosité et un message devrait s’en suivre pour plus d’explications à ce sujet. Oui, maintenant, pour l’examen des chuunin, les futurs ninjas seraient confrontés à une épreuve, pour passer au rang suivant, ils devront exécuter leur adversaire. Une souffrance mentale certes, mais un enrichissement pour chaque ninja. Ainsi, lors d’une mission, ils ne broncheront pas devant l’ennemi et n’hésiteront pas à lui enlever la vie si nécessaire. Déjà si jeune, mais bientôt si fort. C’est de cette façon que Kiri retrouvera sa puissance d’autre fois :

- Alors dis-moi, comment vont tes cours ? Tu les as commencés ?

Voulant s’informer sur son cheminement, la kunoichi lui avait posée cette question. Était-ce le temps de lui parler de ce qu’elle comptait faire pour l’académie ? Tous les changements qu’elle allait y apporter ? Ou allait-elle le faire paniquer une fois à l’examen ? C’était assez difficile à choisir, car d’un coté, si elle lui disait d’avance elle aurait l’air plus gentille en l’avertissant, mais il pourrait s’y opposer aussi. Dans le cas contraire, elle semblerait vraiment cruelle, au dessus de tout le monde à regarder le combat. Elle imaginait déjà la scène, tous le monde acclamant les prochains participants, Shinrai se présente dans l’arène avec un autre ninja, on annonce les règlements et ce regard qu’il lui lance, un regard voulant dire : Comment as-tu peux ? Des yeux embrasés.

La Mizukage détournant son regard pour ensuite regarder l’arbitre, lui faisant signe de tête pour commencer le combat. Oui, voilà à quoi cela pourrait ressembler. Enfin, si elle connaissait bien son jeune frère se doutant bien certainement qu’il ne se réjouirait pas à l’idée de devoir tuer quelqu’un. Il n’était pas ce genre de jeune homme mais Kitara le faisait pour son bien. De cette façon, il n’hésiterait pas devant le danger et ne décèdera pas lors d’une mission importante car il avait bronché à l’instant de le tuer. C’est l’instinct de la survie. Tout ninja devrait au moins avoir une fois goûté à ce sentiment, ce que l’on ressent lorsqu’on voit la vie quitter le corps d’une personne que nous avons abattu. Ce sentiment si cruelle mais si apaisant à la fois. L’effet chimère de cette sensation demeure toute fois l’envie, l’envie de continuer ce qui mène peu à peu à des tendances meurtrières ou cruelles comme notre chère Shichidaime Mizukage.

-Il fallait s'attendre a n'avoir aucune nouvelle du village d'Oto, mais, en ce qui attrait le village de Konoha, je suis quand même surpris. On dirait que ce village ai perdu de sa réputation, surtout depuis la dernière guerre il y a 100 ans. Pour Suna... et bien, c'est leurs problèmes et je suis sur que tu a déjà envoyer quelqu'un pour s'en occupé. Quant a Kumo, je croit qu'avoir un allié ne serait pas trop mal, pas pour dire que notre village a absolument besoin d'eux, mais qu'ils pourraient nous aider si on est dans de beau drap et pour la dette, pas questions de payer ce que nous ne devons pas, sauf si, évidemment, tu as du emprunter de leur village.

Shinrai ne connait pas vraiment l'histoire des autres villages. Bien que la guerre shinobi d'il y a 100 ans soit un très grand évènement pour l'histoire d'aujourd'hui, il n'y a jamais vraiment porter attention, même que ça ne l'intéressait pas. Il préférait se concentrer sur ses exercices à l'académie. L'examen pour passer Chuunin allait arriver d'une manière ou d'une autre et, cette fois ci, il sera obliger de participer. Shinrai ne se préoccupais pas trop, du moment qu'il réussis les épreuves et remporte les combats, il allait facilement être reconnu comme Chuunin. Un plus haut rang, quoiqu'il se moque d'être considéré d'une plus grande importance au sein du village, des missions certes un peu plus dangereuses mais, qui pourra aider le village et la fierté de sa soeur quant à sa quête d'avoir de meilleurs ninjas pour son village. Il venait tout juste de finir son plat qu'elle lui demandait s'il avait commencer ses cours et si ça allait bien:

-Biensur ma soeur que j'ai commencé mes cours. Aujourd'hui l'instructeur à du s'absenter et il n'y avait personne pour le remplacer, alors j'en ai profiter pour venir te voir. Depuis que tu est Mizukage, nous n'avons plus vraiment le temps de se voir à la maison comme avant. Désolé, je devis de sujet. En général les cours se passe bien; les exercices de Taijutsu sont très facile, voir trop facile pour moi. Malgré le fait que je ne connais pas de techniques spéciales ou extravagantes, je suis dans les meilleurs de la classe, si je ne suis pas le meilleur. Pour le Ninjutsu, je m'en sort pas mal. J'ai seulement besoin d'encore un peu de pratique pour les maitriser.

Il passa un bref moment de silence. Tout deux se regardait dans les yeux, il lui sourit et prit les mains de sa soeur et lui dit d'un ton doux pour la rassurée:

-Si jamais tu t'inquiète à propos de l'examen de passage pour devenir Chuunin, tout va bien allez. Tu me connais, je fait toujours attention et je suis doué au combat.

À la suite de ces paroles, Kitara semblait moins tendu qu'elle en avait l'air. S'en suivi quelques anecdotes de leur enfance et de leur adolescence. On ne se lasse jamais de ces souvenirs; Les premiers amours, les premiers échecs, les amitiés de l'époque, etc. Il fut bientôt temps pour Shinrai de repartir, l'heure de dinner étant terminé. Avant de partir, il avait une dernière requête à formuler:

-Étant donner que je suis libre pour le reste de la journée, n'aurais-tu pas une mission pas trop longue à me donner? Personnellement, je ne sais pas vraiment quoi faire cet après-midi.

La situation du villagePrès de terminée sa boite repas, cette dernière écoutait les mots du jeune homme, ce dernier ne semblait pas surpris de ne pas avoir de nouvelles du village caché du son. Il est vrai que ce village était silencieux et étrange. Aussi, selon les rumeurs, ils auraient perdu leurs Kage il y a bien longtemps et jamais il avait entendue une réélection. Mais un village caché ne pouvait survivre sans chef. Pour en avoir le cœur net, elle allait devoir s’y rendre par ses propres moyens. Cependant, Shinrai restait étonnée face au silence de Konoha. Disant que ce village semblait avoir perdu beaucoup lors de cette guerre, ils devaient être à la recherche d’allier sans doute. Pour Suna il semblait certain qu’elle avait envoyée quelqu’un pour s’en charger.

Oui, c’était bien vrai. Elle avait envoyé… Des hommes s’en charger et avait renvoyé les… Corps de ceux l’ayant énervée. Pauvre Suna, bientôt, elle en aurait des nouvelles. Dictant son opinion sur Kumo, Kitara fut surprise. Était-il vraiment sérieux en disant qu’il aimerait s’y allier ? Hmmm, évidemment, ils n’avaient pas les mêmes idées. Pour elle, l’alliance la plus bénéfique et plus efficace serait avec Oto car elle-même ignore quelle force peut bien se cacher sous ce silence. Et pour Kumo, dommage mais… Elle se les met à dos assez amèrement. Puis pour la prime, cette dernière ne semblait pas lui en avoir parlé. Méditant à ce qu’avait dit son frère, il était vrai que c’était rare qu’elle prenait l’opinion des plus pacifiques. Mais pour le moment, le conseil n’était pas au pacifisme, enfin, pas s’il voulait survivre. Le village n’étais ni en besoin et ne vivait aucun problème. Sure, l’argent manquait légèrement, mais les conditions du village n’allaient pas tarder à monter si les ninjas faisaient à leur demande, les missions importantes pouvant les aider financièrement tout comme le village.

Reprenant la parole, ce dernier affirmait qu’il avait reprit les cours, qu’il avançait bien rapidement, malgré l’absence du sensei. Ces petits mots lui faisaient grincer les oreilles. Un instructeur qui manquait à son poste. Il devait avoir une bonne raison pour déserter son cour. Ouvrant lentement son tiroir, celle-ci vit l’enveloppe noire et la fit tomber au fond du tiroir pour éviter que Shinrai ne pose ses yeux dessus. Lentement, Kitara prit le dossier des instructeurs pour les genin et cherchait celui qui était en tâche aujourd’hui. Pendant ce temps, le garçon continuait à parler de ses entraînements au corps à corps ce qui ne l’étonnait pas car il avait toujours eu une force au tajutsu, un grand atout pour lui.

Surtout pour l’examen qui allait se présenter au jeune homme. Pour le ninjutsu, il affirmait qu’il s’y prenait plus difficilement qu’au corps à corps. Il est vrai que s’il démontrait un certains talent au corps à corps, il ne pouvait principalement pas exceller dans tous le reste. Mais le ninjutsu pouvait toujours devenir meilleur lorsqu’il aura passé son examen, ce n’est pas forcément tout de suite qu’il deviendra un parfait manieur de son élément. Contrairement à lui Kitara excellait dans son ninjutsu depuis toute petite, mais tous avait sa force non. Son taijutsu n’était pas faible non plus mais pour les heures d’entraînements qu’elle y passait, seulement pour impressionner son père et lui faire honneur. Elle se devait bien tous ces efforts. Car à cet âge, quelle vie sociale avait-elle ? C’était regrettable oui mais encore aujourd’hui elle préférait ne pas avoir eut d’amis de son propre gré, mais exceller à l’académie. La femme sortit la fiche du juunin en question pour la poser sur le bureau et rangea le dossier dans le tiroir avant de lever les yeux vers son frère et le regarder.

Quelques secondes s’écoulèrent dans le silence avant que Shinrai ne pose sa main sur celle de sa sœur. Celui-ci lui sourit avant de reprendre doucement. Ce dernier lui disait de ne pas s’inquiéter pour l’examen chuunin, il se disait prudent et fort. Certes, il en fallait, mais encore, il ignorait l’examen. Il allait le savoir une fois sur place car il n’y avait encore jamais eux un tel examen en cour. S’il s’attendait à se rendre au village de Konoha, il se trompait malheureusement. Lui souriant avant de lui parler de son propre examen, échangeant d’abord quelques souvenirs, ce dernier reprenait avec quelque chose d’important. Puisqu’il se trouvait libre pour le reste de la journée grâce au manquement du juunin, il demandait de quoi s’occuper en attendant de terminer la journée.

Les missions n’offrant pas deux ou trois jours de voyage étaient rare. Cherchant dans la pile de mission, la femme trouvait une missions donnée par un homme du village qui avait besoin de quelqu’un pour s’occuper de quelques voyous scrutant et volant ses récoltes. Il énonçait des faits de vandalisme et que ces jeunes arrogants se trouvaient sans doute à être des ninjas de l’académie. Ces crétins allaient devoir rendre visite à la justice et affronter la Mizukage afin de s’excuser et devront payer de leur sueur tout ce qu’ils ont volé. Levant la tête, souriante vers son jeune frère, elle lui tendait le parchemin avec l’adresse et tous les détailles sur la mission :

Avant que tu ne partes, je tiens à te mettre au courant de quelques petites informations au sujet de Kumo. Non il est vrai que je n’aie jamais emprunté. Mais pour la dernière guerre, nous avons emprunté de l’argent et le précédent Kage a lui aussi emprunté pour survivre car… Il dépensait inutilement. Alors Kumo commence à s’impatienter et je ne veux pas que le village dépende de la foudre car s’il veut s’allier à nous, c’est sans doute pour nous soumettre et je ne permettrai pas cela. Pour ton instructeur, je vais lui en parlé, merci de m’avoir averti, maintenant, tu peux disposer.

Lui dédiant un sourire, la jeune femme baissait les yeux vers sa boite de laquelle elle prit la dernière bouchée avant de la glissée plus loin et commencer à ouvrir ses lettres :

- Merci pour le repas Shinrai, c’était très apprécier.

Attendant qu’il parte, celle-ci s’assura qu’il ferme bien la porte derrière lui, elle comptait une dizaine de secondes avant d’ouvrir le tiroir et prendre l’enveloppe noire. Elle l’ouvrir l’entement et y trouvait une note sur un parchemin noir écrit d’un rouge alléchant. On lui donnait rendez-vous dans quatre lunes à un endroit étrange, c’était signée Aëla Nuzvaël, Kage d’Akatsuki. De grands frissons montaient dans sa colonne. Elle avait vue sa demande d’audience ? Rangeant soigneusement la lettre dans l’enveloppe et glissant celle-ci dans ses vêtements, la kunoichi voulait s’assurer que personne ne tombe sur cette lettre.

Mission,
Rang : C
Titre : Les pilleurs de champs.
Description : Deux jeunes étudiants à l'académie portant leurs bandeaux frontaux, donc sans doute déjà genin, voles les récoltes d'un des plus grands rapporteurs de Kiri, allez les arrêter et ramenez les dans le bureau du Mizukage afin qu'ils soient traiter comme ils le méritent.
Gains du ninja : 50 ryos par voyou
Gains du village : 70 ryos par voyou

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